Séduction de poète des Temps modernes, de ces mots osera t'il ? Laisser un peut-être "je t'aime de la part du poète inconnu" tellement mystèrieux et entourer de secrets, est-ce parce qu'il aime en silence ? Mais sur le coin d'une feuille de papier, il apposera sa signature d'un simple pseudonyme.

Oh toi ! Le poète inconnu, à mes yeux ton visage est recouvert d'un masque mon imagination vagabonde et souhaitant te faire porter le masque du carnaval de Venise, je sais que tes mots sont égaux à ce plus beau des carnavals du monde. Poète inconnu fait moi rêver, danser, tourbillonner, fait moi tourner la tête, emmène-moi au sommet des plus beaux vertiges de l'amour, étonne-moi, émerveille-moi, surprend moi, ose m'étourdir.

Extrait de mon prochain livre Amour, Voyages, Légendes, Revoir, New-York...

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Italie, Venise, la Place St Marc, le Pont des Soupirs, oh toi ! Belle Italie, mon coeur cogne de toute ces forces à la vue de tous ces masques de couleurs, mes yeux sont illuminés de bonheur intense.

Je me promène, marche d'un pas lent, je souris mes yeux ne peuvent qu'admirer, contempler, les masques défilent les uns après les autres, je suis littéralement absorbée, chaque masque, tous plus beaux les uns que les autres, portant des rangées de perles nacrées, quelques paillettes pour rehausser certains masques un peu trop blancs, une touche de rouge, ou de bleu, voir un peu de mauve. On peut percevoir des roses rouges, sur leurs épaules, c'est la féerie du carnaval de Venise, tourne, et tourne les masques c'est une vraie farandole.

Extrait de mon prochain livre Amour, Voyages, Légendes, Revoir New-York...

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Elle lit le livre Amour, Voyages, Légendes, Revoir New-York... de Patricia Villard mais surtout la nouvelle la nuit de la peur, la légende des âmes noires.

Milly- Lamartine maison d'enfance d'Alphonse de Lamartine

photo prise par Patricia Villard en 2008. (Macon)

Alphonse de Lamartine, un grand romantique concernant ses écrits, la beauté de ses écrits nous ont fait rêver, à son époque il faut reconnaître qu'il a fait chavirer, le coeur de plus d'une femme.

Durant mon séjour, j'ai pu visiter ces nombreux châteaux dont il était propriétaire, Milly Lamartine, Monceau, Saint-Point, Pierreclos, Berzé-le-Châtel et j'en passe...

Mais la chose la plus fantastique, voir presque étrange, par un hasard j'ai eu l'immense privilège de rencontrer les deux descendantes cousines, de Lamartine de parler, et de les photographier, ainsi que d'avoir un mot de la part de ces deux femmes, quel bonheur, j'en suis encore vibrante d'émotion.

 Il est normal de commencer par Milly-Lamartine la maison de son enfance, une demeure toute simple c'est-à-dire pas un château, mais pour le poète elle emportait sur tout, car c'est la maison natale, Milly c'est tout. Avec toute mon attention j'écoute les explications et commentaires du guide, me voilà bercer, imprégner, transporter à l'époque du poète, il n'est absolument pas difficile, de se plonger en son temps, imaginer, comme se récréer cet atmosphère, le lieu où le poète était, ne serait-il pas fier et heureux que l'on soit là après visiter cette maison qui lui tenait tant à coeur.

Extrait de mon nouveau livre Amour, Voyages, Légendes, Revoir New-York...

 Texte et photo protégé par le SACD.

Nous sommes à Mortin, petit village situé dans le département du Nord. Là chaque habitant vit dans une vieille ferme héritée de père en fils. Une impression de calme, de sérénité saisit, on s'imagine être en hiver, auprès d'un feu de bois dont les flammes jaillissent de la cheminée, tout en sirotant un bon bol de cidre chaud.

Mais ! Mais ! Détrompez-vous ce village n'est pas du tout calme : se mêlent découvertes, étrangeté, curiosité, c'est assez inquiétant ! L'hiver est là, la neige, s'annonce avec tempête, il fait nuit noire, personne dans les rues, tout le monde à l'intérieur des maisons cherche la chaleur du foyer. La Première ferme est à proximité de la maison du Maire.

On frappe deux grands coups à la grosse porte faite de bois épais. Bang ! Bang ! Les trois personnes qui se trouvent à l'intérieur sursautent. L'homme fait le geste de mettre la main sur la poignée, mais les deux femmes lui disent :

-        N'ouvre pas, c'est peut-être le diable ! Et leurs voix marquent la peur. Alors, il recule, ils se regardent tous trois d'un air inquiet, et pendant ce temps les coups se font plus violents, l'homme se décide enfin à ouvrir, ce qu'il découvre lui fait faire un bon en arrière, et les femmes ont fait le signe de croix l'une d'elle s'écrie :

-       C'est le diable !

Extrait de mon prochain livre Amour, Voyages, Légendes, Revoir New York...

Texte protégé par le SACD.